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(Suite / Partie 2)
La course, la vitesse
De tout temps, la vitesse a pesé sur la recherche, le travail sur l’information et sa diffusion. La nouvelle a la particularité de se périmer très vite, déjà au bout de vingt-quatre heures. Aux XIXe siècle et XXe siècle, il fallait certes « faire de l’information » mais surtout la devancer « pour […] la vendre avant qu’elle ne soit dépassée ». Avec les progrès technologiques, on constate que c’est l’information qui s’emballe mais pas les événements qu’elle couvre. (...)