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Charlie mal en point, avant l’attentat
La brutalité soudaine de l’événement ne doit pas cacher une réalité plus triviale : Charlie Hebdo était déjà condamné par la loi d’airain de l’économie, et, faute d’un nombre suffisant de lecteurs, le journal endetté, affaibli et asphyxié, perdait chaque semaine de sa rentabilité.
Certes, la notoriété soudaine et le soutien massif de l’opinion ont changé la donne, on ne peut que s’en féliciter, mais le fond du problème reste posé : La crise de la presse en général et de (...)